Aujourd’hui, Infrastructure Ontario et Metrolinx ont fait appel de la récente décision judiciaire qui portait sur la réclamation de Crosslinx concernant la COVID-19.

Les documents d’appel déposés en cour aujourd’hui mettent l’accent sur des questions juridiques que nous estimons importantes et qui, si elles ne font pas l’objet d’un appel, pourraient avoir de larges répercussions.

En tant qu’organismes publics auxquels est confié l’argent des contribuables, il nous incombe de veiller à ce que tous les coûts payés par le public soient correctement justifiés avant que les paiements ne soient effectués.

Nous nous engageons à travailler avec tous nos partenaires contractuels pour discuter des défis et des coûts survenus au cours des 15 derniers mois, en reconnaissant que ni la province, ni ses partenaires, n’ont causé la pandémie.

Sur les projets P3 que nous avons mis sur le marché depuis que l’épidémie a atteint l’Ontario l'année dernière, nous avons déjà établi un régime dans nos contrats qui définit une nouvelle approche du risque de pandémie. Ce régime sera utilisé pour tous les projets en cours d’approvisionnement, y compris l’ambitieux plan de transport en commun de l’Ontario.

Notre objectif a toujours été, et reste, de créer de grands partenariats pour réaliser de grands projets publics.

Nous n'avons pas l’intention de commenter davantage cette affaire, car elle est devant les tribunaux.

Michael Lindsay et Phil Verster